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dimanche 2 octobre 2011

Primaires : Clarifions le débat !


Le débat du 28 septembre a permis de voir clair. Martine Aubry avance les propositions les plus solides, les plus claires, les plus efficaces.

-Sur le SMIC,Martine Aubry est la seule à prendre un l’engagement d’un double coup de pouce chaque année : le premier pour que le pouvoir d’achat du SMIC augmente au moins autant que celui des salaires et de la croissance ; et le second pour rattraper progressivement le retard pris depuis 2007, soit un demi-mois de salaire en plus (500€ nets). Le SMIC ne peut augmenter deux fois moins que la croissance comme c'est le cas depuis 2007 et comme le proposent certains.


-Sur les licenciements, Martine Aubry est la seule à proposer une action de précaution, en amont, pour éviter que les grands groupes n’organisent la fermeture et le démantèlement de sites : c’est la possibilité pour les salariés de saisir le juge, avant qu’il ne soit trop tard, pour faire cesser ces pratiques, le cas échéant par la mise sous tutelle provisoire de l’entreprise par un administrateur judiciaire. Cela existe en cas de conflit entre les actionnaires, Martine AUBRY propose de l’étendre à des conflits entre salariés et actionnaires et ne croit pas aux pénalisations financières car « tout ne s’achète pas par l’argent ».


- Sur le commerce mondial, Martine Aubry est la seule à proposer une voie crédible entre le libre-échange sans règle et l’illusion d’une France autarcique : le juste échange et la réciprocité commerciale, c'est-à-dire la taxation des produits en provenance de zones qui ne respectent pas les normes sociales et environnementales ou qui manipulent leur monnaie en vue d’en tirer un avantage compétitif.

- Sur le non-cumul, Martine Aubry prend des engagements clairs : l’application immédiate dès le renouvellement législatif. Il ne peut être question d’attendre une hypothétique loi s’appliquant au mieux en 2014, mais de respecter le vote des adhérents qui ont voulu dès le mois d’octobre 2009 que le Parti Socialiste entame un profond renouvellement démocratique entrainant l’ensemble de la classe politique.

- Sur la politique familiale, Martine Aubry est la seule à proposer une vraie mesure de justice : que les aides (allocations familiales et effets du quotient familial) soient les mêmes pour chaque enfant – 250€ par mois, 3000€ par an -, alors qu’aujourd’hui, à cause des dispositifs de part fiscale, l’aide globale varie de 1000€ à 5000€ (pour un couple d’au moins deux enfants).

- Concernant les frais d’inscription à l’université, elle s’oppose fermement à la proposition de François Hollande qui souhaite les augmenter fortement, quitte à recourir à des prêts. Cela a été mis en place en Angleterre, et le résultat est que beaucoup de jeunes ont dû renoncer à poursuivre leurs études, ou partir en Ireland ou sur le continent où les frais sont moins élevés.
Elle va plus loin en mettant en avant l’allocation d’autonomie, sous conditions de ressources, qui permettra aux étudiants de suivre des études sans avoir à travailler à côté, donc de mettre toutes les chances de leur côté pour réussir.

-Sur l’emploi des jeunes, la solution la plus efficace, celle qui a fait ses preuves, celle qui prépare l’avenir, notamment la transition écologique de notre pays, ce sont les 300 000 emplois d’avenir proposé par Martine Aubry. Chacun se souvient que les emplois jeunes avaient mis le pied à l’étrier à 350 000 jeunes, et qu’à l’issue 82% ont accédé à un emploi durable et avaient joué un rôle essentiel en 1997 dans le retour de la confiance et de la croissance. A l’inverse, derrière le nom« contrat de génération » il y a une réalité : ce serait un nouveau dispositif d’exonérations de cotisations sociales contre embauche.

Or, à chaque fois que des dispositifs de ce type ont été tentés par le passé, cela a été un échec. Cela coûte très cher et ne crée pas d’emplois. Ce fut notamment le cas du CIE (Contrat initiative emploi et sa déclinaison le CIE jeunes), mesure phare de Jacques Chirac en 1995, et plus récemment, du SEJE (Soutien à l’Emploi des Jeunes en Entreprise) créé par le gouvernement Raffarin en 2002. Il y a ce que l’on appelle un effet d’aubaine : pour dix contrats aidés, il n’y a en fait qu’un seul emploi nouveau créé. Dans neuf cas sur dix, l’argent public est dépensé pour rien. Le contrat de génération serait donc en réalité une nouvelle niche fiscale au bénéfice des entreprises, qui coûtera 8 milliards d’euros par an sur la législature. C’est la raison pour laquelle ce dispositif, qui a été étudié et débattu au sein du Parti socialiste, a été écarté dans le projet 2012.

L'équipe de campagne

vendredi 30 septembre 2011

Meeting de Martine Aubry à Cenon


Jeudi, Martine Aubry était à Cenon à la rencontre des français, afin d'exposer les priorités qui seront les siennes en tant que Présidente de la République.

Après les discours d'Alain Anziani, de Fabienne Brugère, et de nombreux élus, Martine Aubry a enthousiasmé la salle par la clarté de ses propositions et l'espoir de réellement transformer la société.

Beaucoup de ceux qui étaient encore hésitants en arrivant sont repartis convaincus, prêts à s'engager dans la campagne.



Avec les militants de Greenpeace, avant le meeting :

mercredi 21 septembre 2011

La mémoire courte de Madame Royal et Monsieur Hollande …

En mal d’inspiration ou en panne dans les sondages, nos duettistes se lancent une fois de plus dans une polémique stérile, visant à discréditer Martine Aubry.

Qui n’a pas entendu parler depuis 2 ans du fameux « pacte de Marrakech » ?
François Hollande le dénonçait il y a des mois en parlant d’un « Tout sauf Hollande » qui l’arrangeait bien, le faisant exister.
Ségolène Royal a tenté de s’y raccrocher, le 31 mai 2010 lors de son émission sur France 5.

Et pourtant ils font semblant de le découvrir suite à l’intervention de DSK sur TF1 dimanche, et se lancent dans une nouvelle attaque puérile contre Martine Aubry.

Mais le célèbre duo qui a flingué la campagne de 2007 en mentant sur leur séparation n’est pas à une contradiction près.
Ségolène Royal qui nous joue le couplet de la « vérité vraie » oublie qu’après avoir défendu bec et ongles ses propositions en 2007, elle avouait quelques semaines après sa défaite l’avoir fait sans y croire.
François Hollande oublie que le candidat de substitution des sondages, c’est lui. Et que ses principaux soutiens, dont Monsieur Moscovici, ne se sont rabattus sur lui que par défaut, après la sortie de DSK.

Martine Aubry a été la première à parler de cet accord. Elle a toujours refusé le mot de « pacte », lui trouvant une connotation de complot. Elle a par contre toujours revendiqué cet accord de désistement mutuel entre elle et DSK. Un accord basé sur leur alliance sur la même motion lors du congrès de Reims, regroupant également Bertrand Delanoë et Laurent Fabius.

Un accord maintes fois dénoncé par ses concurrents socialistes, découvert, oublié, relancé en fonction de l’air du temps ...

Le camp Hollande en profite pour relancer sa fameuse idée de « candidate de substitution » : rappelons que cet accord de désistement était réciproque. L’un des deux irait, pas les deux. La décision se ferait en fonction de la situation au moment de la prise de décision. De leur capacité à battre Nicolas Sarkozy, de la situation française et internationale.
DSK voulait y aller, il l’a dit. Mais aurait-il pu le faire en pleine crise de la dette, quand abandonner son poste au FMI en pleine tempête serait revenu à déserter et l’aurait disqualifié aux yeux du monde et des français ?
Martine Aubry également voulait y aller. Pourquoi sinon s’embêter pendant 3 ans à rassembler une famille socialiste déchirée par le congrès de Reims, pourquoi se battre comme elle l’a fait pour construire un projet qu’elle est la mieux à même aujourd’hui à défendre ? Pourquoi aurait-elle laissé des dizaines de députés prendre partie pour elle dès le mois de mars, au sein du groupe Solférino2012, si elle avait renoncé ?

Ils souhaitaient tous deux y aller. DSK s’est mis hors jeu, Martine Aubry s’est lancée.

Elle mène depuis le 28 juin une campagne de terrain et d’idées, soutenue par des milliers de volontaires partout en France qui multiplient les tractages, les porte-à-porte et les réunions publiques.
Elle se bat sur le fond, refusant les polémiques stériles de ses concurrents, allant à la rencontre des français pour leur redonner l’espoir d’une vraie transformation de notre société.

Espérons que les français ne se laisseront pas distraire du vrai enjeu de cette primaire : donner à la France une présidente expérimentée, courageuse, et ayant l’envie et la capacité de vraiment changer la vie.

vendredi 2 septembre 2011

En Gironde, les soutiens socialistes de Martine Aubry entrent en campagne

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Ce jeudi 1er septembre, les socialistes girondins qui soutiennent Martine Aubry pour les primaires ont lancé leur campagne et la première réunion publique au coeur du quartier populaire, Bacalan, à Bordeaux. Parmi eux, sept parlementaires locaux de premier plan, dont les sénateurs Françoise Cartron, Alain Anziani, le député, François Deluga... L'occasion pour eux d'expliquer pourquoi la première secrétaire leur paraît la mieux armée pour battre Nicolas Sarkozy en 2012.
Le choix du lieu, le quartier Bacalan, est symbolique. "C'est un canton populaire. Martine Aubry est très attachée à l'ancrage à gauche de notre parti", indique Philippe Dorthe, conseiller général du canton de Bordeaux I. Les différents élus présents ce soir au lancement de la campagne en Gironde pour Martine Aubry, ont tenu à souligner la diversité des courants qui ont décidé de se rassembler derrière la première secrétaire. En effet, ce comité de soutien réunit des élus de toute sensibilité, les conseillers régionaux, Naïma Charaï (Emmanuelli-Hamon) et Philippe Buisson (Delanoë), Philippe Plisson (Pôle écologiste du PS)... François Deluga, député de Gironde a également mis en avant "la capacité à gérer le pays de Martine Aubry, son expérience au niveau local et national". De son côté, la sénatrice Françoise Cartron est persuadée qu'une "femme peut être enfin présidente la République en France"

lundi 29 août 2011

Et maintenant on taxe les sodas !



Le gouvernement a présenté la semaine dernière son plan pour « sauver l’économie » : au programme, des taxes, toujours des taxes : sur les cigarettes (bien sûr), sur l’alcool (évidemment), et même sur les sodas !

Hypocrisie sans limite d’un gouvernement aux abois, soumis aux agences de notation, qui prend prétexte de protéger les français contre les risques pour leur santé, alors que dans le même paquet, il taxe aussi les mutuelles.

Tant pis pour les français qui n’ont plus les moyens de se soigner, tant pis pour les classes populaires et moyennes,  qui consomment tout ce qu’elles gagnent (ou le peu qu’elles gagnent).

Et bravo aux très riches ! Ils suppliaient dans un appel déchirant le gouvernement d’augmenter leurs impôts – ils ont été entendus :  200 millions d’euros d’impôts supplémentaires, après le cadeau d’1,8 milliards reçu en juillet avec l’allègement de l’ISF, et alors que les autres français, eux, se partageront une facture de 11 milliards ! Ça leur laissera de quoi cotiser au 1er cercle de l’UMP, c’est sûr !

Alors battons-nous pour qu’en 2012, la gauche revienne au pouvoir, et rétablisse la justice !
Martine Aubry aura le courage de remettre l’économie réelle devant la finance, de rétablir les comptes du pays tout en relançant la croissance, de redonner l’espoir aux jeunes en créant les emplois dont notre pays a besoin pour se redresser.

2012, c’est demain ! Mobilisons-nous !